Arboretum


Araucaria (FR)


Araucaria araucana est un arbre préhistorique originaire de l'hémisphère sud. C'est l'arbre national du Chili. Comme tous les conifères, il a des aiguilles, ici en forme d'écailles, à la place des feuilles. En croissant de 5 à 8cm par an, il peut atteindre 50 m de haut et vivre 2.000 ans !

Il a été importé en Angleterre aux environs de 1800 et a reçu alors son surnom de "Désespoir des singes", sans doute parce que ses épines dangereuses empêchent de grimper dedans.

L'araucaria n'arrive à maturité qu'au bout de 30 à 40 ans. Il arrive que le même arbre porte à la fois les cônes mâles et les cônes femelles. Celui-ci araucaria porte des cônes mâles qui ressemblent à des (petites) queues de castor. Ce sont les cônes femelles, en forme de globe et de la taille d'un petit melon, qui portent les graines. Les graines sont comestibles (comme les pignons de pin). Le bois d'araucaria est utilisé de nombreuses façons et sa résine sert en médecine.

Les forêts d'araucaria, qui poussent aussi dans les zones volcaniques d'Amérique du Sud, ont la particularité de parfois survivre aux incendies : les arbres assez vieux peuvent survivre grâce à la dureté de leur écorce et aux écailles qui protègent les bourgeons. C'est un arbre bien adapté à la montagne, qui supporte des écarts de température importants.

L'araucaria est une espèce en voie de disparition.

La famille des araucarias comporte une vingtaine d'espèces d'arbres différentes.



Plus d'infos et photos sur https://www.couleursbois.com/techniques/les-bois/1616-araucaria



Araucaria (NL)


Fraxinus excelsior L.


Frêne (frêne commun, grand frêne ou frêne élevé) FR

Le frêne est l'un des plus grands arbres de nos forêts (jusque 4om de haut). Il se reproduit (trop) bien et croît rapidement. Il vit jusque 250 ans. Ses feuilles, caduques, opposées et composées (7 à 15 folioles sur un pétiole), naissent de bourgeons noirs qui permettent de reconnaître facilement le frêne.

Son écorce, lisse et verdâtre au début, brunit et se crevasse avec l'âge.

Le bois de frêne, solide et élastique, est apprécié pour fabriquer meubles, manches d'outils, tonneaux, échelles et instruments de musique. Ses feuilles servent à préparer une limonade connue depuis le Moyen-Age, la frênette (disponible à la Villa 1900), un cidre de frêne peu ou pas alcoolisé selon les recettes.

Les fleurs apparaissent au bout des rameaux, avant les feuilles. Elles sont suivies par les fruits, des petites graines ailées, les samares, qui remplissent parfaitement leur rôle en s'éparpillant partout et germant facilement.

Le frêne se trouve partout dans nos contrées (sauf en haute montagne et au bord de Méditerranée). Son origine remonterait à des temps très lointains, dans les régions du Pôle Nord. Chez nous, il est décimé par un champignon depuis quelques années ; il faut donc éviter de déplacer les rameaux de frêne pour ne pas disséminer la maladie.

Les feuilles du frêne constituent un bon diurétique, en infusion à boire, et soulagent les rhumatismes, en application externe.

De nombreuses légendes accordent aux frênes des pouvoirs contre les serpents.

Il existe aussi un frêne rouge, un frêne doré, un frêne à fleurs et un frêne pleureur, entre autres.

Attention, le pollen de frêne est considéré comme très allergène.

Plus d'infos et photos sur https://www.gerbeaud.com/jardin/fiches/frene,1409.html



As (NL)



Catalpa


Catalpa (FR)

La famille des catalpas comporte une dizaine d'espèces, toutes reconnaissables à leurs (très) grandes feuilles vertes en forme de cœur, qui arrivent tardivement.

Les fleurs sont groupées, blanches avec de petites taches de couleurs en leur cœur, en forme de clochettes. Petites ou plus grandes (comme ici, sans doute un catalpa speciosa) selon la variété.

Après les fleurs viennent les fruits, des graines velues enfermées dans de longues et fines gousses brunes, pendantes.

Originaire du Sud des Etats-Unis, le catalpa aurait été importé au XVIIIe siècle et s'acclimate bien chez nous.

Le catalpa n'a d'autre utilité que décorative ; dans les zones ensoleillées, on apprécie cependant beaucoup sa large ramure qui en fait un bon parasol.

A part les graines, toutes les parties du catalpa sont toxiques, en particulier les racines. Les décoctions de feuilles ou d'écorce étaient cependant fort utilisées en Amérique latine pour lutter contre les maladies de la peau, ainsi que l'asthme, le paludisme, la coqueluche et les hémorroïdes.





Plus d'infos et photos sur https://www.wikiwand.com/fr/Catalpa_bignonioides





Catalpa – Trompetboom (NL)



Syringa vulgaris


Lilas (FR)

Facilement reconnaissable au printemps avec ses grappes (=thyrses) de petites fleurs à quatre pétales, qui embaument, le lilas est un arbre à la ramure fine et évasée, qui dépasse rarement 5m de haut. Ses feuilles vertes, douces et souples, sont caduques.

Connu dans le monde comme "lilas français", depuis que le botaniste Victor Lemoine (de Nancy) en a multiplié les variétés cultivables à la fin du XIXe siècle : fleurs blanches, violettes, bleues ou magentas, simples ou doubles, etc.

Le lilas est originaire d'Orient. Le premier plant qui arriva chez nous avait été offert au roi de France François 1er. Son nom dérive de l'hindou où il signifie "bleu". Les Turcs l'appelaient "queue de renard".

Sur les arbres d'origine naturelle (non hybridés), au bout de quelques années, les fleurs fanées laisseront la place à de petites gousses oblongues, en grappes elles aussi, qui s'ouvriront pour libérer les graines après séchage. Ces graines de lilas furent utilisées comme chapelets par les pèlerins, ce qui explique que le lilas fut un symbole de chrétienté.

Les fleurs de lilas sont comestibles ! Vous pouvez les déguster sous forme de sorbet, beignets, tisane, sirop, gelée, vin, ou juste en garniture de salade. Elles sont euphorisantes, laxatives et anticoagulantes ; pour cette raison, il faut les consommer par petites quantités.

Le lilas est bien sûr aussi utilisé dans la fabrication de nombreux parfums.



Plus d'infos et de très belles photos des différentes fleurs sur https://laterreestunjardin.com/lilas/



Sering (NL)



Ilex aquifolium L.


Houx (FR)

Le mot "houx" et le nom de l'espèce "aquifolium" font tous deux référence aux feuilles épineuses du houx, facilement reconnaissables et qui prennent place, chez nous, parmi les symboles des fêtes de fin d'année. Les épines dissuadent efficacement les animaux brouteurs, et par un phénomène épigénétique (expression variable de certains gènes de l'ADN en fonction de l'environnement), les feuilles d'hiver, saison où la verdure disponible se raréfie, piquent davantage !

Répandu dans toute l'Europe (sauf la haute montagne), le houx est le plus souvent un arbuste de sous-bois mais certains plants deviennent des arbres montant jusqu'à 20m. Sa croissance est très lente et il peut vivre plus de 300 ans. On trouve aujourd'hui du houx pratiquement dans toutes les régions du globe sauf Afrique et Amérique du sud.

En principe, certains plants sont femelles, d'autres mâles ; la pollinisation se fait grâce aux insectes.

Les feuilles du houx sont concentrées en différents alcaloïdes, entre autres de la théobromine (la substance euphorisante du chocolat, que ne supportent pas les animaux) et de l'acide caféique. Elles sont donc toxiques à forte dose mais elles ont été utilisées traditionnellement comme remèdes et dans différentes préparations culinaires. Ilex paraguariensis, du même genre, sert à produire le maté en Amérique du Sud. Notons que le papillon citron aime loger dans le houx (comme dans le lierre).

Le houx produit de petits fleurs blanches, qui donnent des petites drupes (fruits à noyau), rouges à maturité, encore plus toxiques. Comme les drupes font vomir, le risque d'être empoisonné en en mangeant beaucoup est limité ; les oiseaux, eux, en raffolent et sont heureux de pouvoir s'en nourrir en hiver.

Le houx était employé pour son bois (rare mais apprécié : jeux d'échec, canne de Goethe... et baguette de Harry Potter). Une longue préparation permettait aussi de transformer son écorce intérieure en glu. On plantait du houx pour constituer des haies infranchissables pour le bétail. On en faisait également des baguettes et des balais. Le verbe "Houspiller" viendrait d'ailleurs de l'usage (méchant) du houx.

Dans les régions francophones, les villages en "Houss" ou "Oussière" devraient tous leur nom aux plantations du houx.

Il est possible (avec de bons gants ! de tailler le houx à la forme voulue (topiaire).

Photos sur l'article très complet de https://fr.wikipedia.org/wiki/Houx



Hulst (NL)


Magnolia


Magnolia (FR)

Si le magnolia se fait discret pendant la plus grande partie de l'année, il est impossible de le rater lorsqu'il est couvert de fleurs, ou que celles-ci viennent de tomber, couvrant le sol aux alentours de grands pétales épais et soyeux, blancs teintés de rose, d'ocre ou de pourpre.

Il existe deux sortes de magnolias : les caducs, dont les feuilles tombent à l'automne et les persistants, qui gardent (en principe leurs feuilles).

Magnolia soulangeana est caduc, de taille modérée (moins de 10 m de haut).

Magnolia grandiflora est persistant, il peut atteindre 20 m de haut et, comme son nom l'indique, ses fleurs sont plus grandes que celles de son cousin de Soulanges, jusqu'à 20cm de diamètre.

Le magnolia est originaire d'Asie, où il pousse à l'abri d'autres arbres. Une fois bien installé (terre et exposition), il met plusieurs années avant d'accélérer sa croissance mais se révèle assez résistant sous nos contrées.

Aussi appelé "laurier tulipier" du fait de la forme de ses fleurs, le magnolia porte son nom en hommage à Pierre Magnol, directeur du jardin botanique de Montpellier... né et mort les mêmes années que Louis XIV.

Après la floraison l'arbre porte de curieux fruits verts cloisonnés (comme de petits ananas) qui libèrent des graines orangées.

Les Asiatiques utilisent l'écorce de magnolia depuis longtemps, dans de nombreuses préparations. Elle a été plus récemment incorporée dans certaines productions pharmaceutiques, chez nous, en particulier pour les troubles liés au stress.

L'huile essentielle de feuilles de magnolia est utilisée en voie externe contre les spasmes musculaires et anti-inflammatoire pour la peau.

Les pétales des fleurs de magnolia sont comestibles et délicieuses en salade ou en beignet.

Photos et quelques conseils de culture : https://jardinage.lemonde.fr/dossier-2661-magnolia-feuilles-caduques.html



Magnolia (NL)


Prunus laurocerasus

Laurier cerise



Originaire d'Asie, le laurier cerise, réputé dangereux, n'a aucun rapport avec le laurier sauce utilisé en cuisine. Ce grand arbuste, apprécié dans les haies et les jardins pour sa croissance rapide, son feuillage persistant et son port touffu, est issu de la même grande famille que les roses.

Il est aussi appelé laurier palme ou laurier amande : cette dernière appellation fait référence à l'odeur d'amande amère qui se dégage quand on froisse ses feuilles. On en faisait, avant une infusion qui servait à aromatiser les desserts. Ce parfum très reconnaissable est cependant celui... du cyanure. Il faut donc absolument éviter de consommer du laurier cerise (on a fini par s'en rendre compte !), et certains maraîchers refusent même catégoriquement d'en accepter les déchets dans leur compost pour ne pas prendre le risque d'élever la tenir en poison de leurs produits.

Ses longues feuilles, coriaces et luisantes, vertes (marbrées de crème dans certaines espèces) résistent à l'hiver.

A la fin du printemps, le laurier cerise se pare de fleurs, curieuses hampes vertes garnies de mini fleurs blanches à 5 lobes et de longues étamines, au parfum agréable et entêtant.

En été grossissent les drupes, petits fruits au noyau... riche en cyanure. Il faut donc toujours faire attention que ni les enfants ni le bétail ne les consomment car elles peuvent s'avérer très dangereuses. La chair des drupes elle-même n'est pas toxique chez les arbres âgés et à maturité (fruits noirs) et, dans plusieurs régions de France, on prend le risque de les utiliser pour préparer une confiture au goût unique fort apprécié.

Présent chez nous depuis le XVIe siècle, le laurier cerise, un peu trop utilisé dans les lotissements, a récemment acquis une mauvaise réputation écologique car il commence à envahir les forêts. Cependant, les oiseaux adorent s'y regrouper (c'est la fête ici, tous les soirs, en été !) et se nourrissent de ses baies (ce sont précisément eux qui, par leurs déjections, peuvent disséminer les graines en pleine nature).



Plus d'infos et photos des fleurs et des drupes sur https://jardinage.lemonde.fr/dossier-772-laurier-cerise-prunus-laurocerasus-palme.html



Laurierkers (NL)



Wisteria

Glycine



La glycine est connue pour sa magnifique floraison, faite de nombreuses grappes de fleurs de couleur mauve pâle (parfois rose ou blanche), qui pendent en cascade et emplissent les environs d'un délicieux parfum, à la fin du printemps.

Originaire d'Asie, la glycine est arrivée chez nous au XVIIIe siècle. Elle fait partie de la même grande famille que les légumineuses (fabacées) : haricots, petits pois, etc. qui poussent aussi enroulées autour d'un support.

C'est l'une des 6 lianes présentes en Belgique ; elle croît très rapidement (un rameau peut prendre plusieurs cm par jour en été !) et peut atteindre une quinzaine de mètres. Contrairement à d'autres, elle supporte bien d'être à l'horizontale, ce qui en fait la plante idéale des pergolas.

Ses feuilles, nombreuses, composes alternées, vertes, apparaissent et tombent tard.

Les gousses, brunes, velues et pendantes, contiennent chacune deux ou trois graines.

Les graines, racines et rameaux de la glycine contiennent de la lectine, hautement toxique. Il faut donc absolument éviter de les consommer (et appeler le centre anti-poison le cas échéant). Par contre, les fleurs (sans les tiges) sont consommées en Provence, au Japon et en Chine : en salade, en beignets ou à la vapeur, par exemple.



Infos et photos des différentes espèces sur https://jardinage.ooreka.fr/plante/voir/22/glycine



Quelques recettes : http://www.lemanger.fr/index.php/mangez-votre-glycine/



Blauweregen (NL)


Cedrus

Le cèdre est un type de conifère de la grande famille des pinacées, ce qui veut dire que ses feuilles sont des aiguilles.



Il se caractérise par sa grande taille et sa silhouette déployée Cet arbre est originaire d'Afrique, Moyen Orient, Himalaya, puis il s'est acclimaté à l'Europe. Le Liban arbore un cèdre sur son. Et le Maroc a la plus grande cédraie du bassin méditerranéen.

Le fruit est un cône en forme de tonneau ovoïde. Quand le cône vieillit, ses écailles s'écartent, avant de se séparer et de libérer les graines qui sont comme des pignons de pin, de couleur bleue et. brune, comestibles pour le Cèdre de Sibérie mais pas pour toutes les (18) variétés.

Le bois de cèdre se fend en séchant et est donc plutôt d'un usage quotidien, et on l'évite pour les charpentes, par exemple ; il est par contre réputé pour sa propriété d'éloigner les mites et autres insectes nuisibles dans les armoires.

Les Cèdres ont une croissance très rapide et une incroyable longévité (jusqu'à 2000 ans !)

En Guyane française, le terme "Cèdre" a un sens botanique totalement différent. Et le Canada utilise le mot "Cèdre" pour parler de thuyas

Site possédant des images et des explications de qualité :
https://www.gerbeaud.com/jardin/fiches/cedre,1143.html



Fagus Sylvatica – Fagus Orientalis

Hêtre commun et Hêtre d'Orient



Ce grand arbre typique de nos régions, ne présente que deux espèces en Europe, qui peuplent une grande part de nos forêts, entre autres la Forêt de Soignes. Seul l'épicéa est plus courant que le hêtre dans les exploitations forestières. Le hêtre arbore des feuilles aux teintes variables selon l'espèce et les saisons : du vert au violet en été, du jaune au rouge à l'automne, ses feuilles, lisses, forment d'épais tapis bruns après leur chute.



Dans les temps anciens, ont utilisait le hêtre comme bois décoratif car il peut être cloué et teint très facilement, et surtout comme bois de chauffage. Aujourd'hui encore, le hêtre est fort utilisé pour les meubles et en particulier dans les cuisines, car il est de bonne qualité et ne libère pas de tanins, contrairement au chêne.



Le hêtre doit son succès à ses racines. Celles-ci courent sur et sous la surface du sol avant de s'enfoncer, formant une large assise au maillage serré, qui s'accommode des sols durs et des obstacles. L'arbre concourt ainsi à fixer et fertiliser la terre. Par contre, il court le risque d'être déraciné d'un coup en cas de tempête. C'est pour cette raison que les hêtres sont abattus dès qu'ils atteignent un siècle ou un certain diamètre. Mais certains hêtres ont atteint l'âge de 600 ans, devenant de véritables monuments naturels.



Le fruit du hêtre est la faîne ("gland de hêtre"). La bogue, petite et dure, est couverte de pointes peu affutées. A l'intérieur se trouve 2, 3 ou 4 faînes, en forme de pyramide à trois faces, qui renferment chacune une graine comestible et délicieuse, entre noisette et pignon de pin. Le hêtre ne fructifie qu'après plusieurs dizaines d'années, et pas quand un printemps trop humide ou froid à malmené la floraison.



Plus d'infos et images : https://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%AAtre_commun



Liquidambar Styraciflua




Le Liquidambar ("ambre liquide") est aussi appelé "Copalme d'Amérique", "Styrax". Tous ces noms font référence à la résine que l'on récolte en pelant partiellement le tronc. Ce "baume du Pérou" ou "storax américain", à l'odeur de cannelle, a été utilisé par les égyptiens pour faire des baumes, par les amérindiens comme chewing-gum ainsi que pour rehausser le goût du tabac, et par les scientifiques du XIXe siècle pour fabriquer le ...polystyrène naturel (remplacé par un composé synthétique en 1925). On reconnaît encore au styrax de nombreux usages médicinaux.



La famille du liquidambar était présente en Europe avant l'ère glaciaire. Il en existe maintenant 4 espèces : d'Orient, de Chine de Formose et d'Amérique. Ce dernier a été introduit en Angleterre au XVIIe siècle.



Ses feuilles qui rappellent celles de l'érable, frappent par leurs flamboyantes couleurs d'automne (rouge, or pourpre) ; froissées, elles ont un parfum d'encens. Son écorce est rugueuse et résistante aux plus basses températures. La forme de sa ramure change avec l'âge : l'arbre est pyramidal dans sa jeunesse et s'arrondit avec le temps.



Le liquidambar est insensible aux maladies et peut vivre 200 à 300 ans. Il atteint alors un mètre de diamètre. Son bois souple et tendre est fort apprécié ; de couleur brun-rouge, il explique le surnom de "noyer satiné" aussi donné à cet arbre.



Ses fruits sont de curieuses petites boules épineuses dont les pores s'ouvrent pour libérer des graines ailées
Plus d'infos et photos : 
https://www.quelleestcetteplante.fr/especes.php?genre=Liquidambar&variete=styraciflua